Présentation des auteurs

Nos premières photos numériques datent de Mars 2001, nous avions acheté le Coolpix 880 (3 mégapixels) pour notre séjour en Martinique et comme nous n’avons jamais été équipés en argentique ce voyage marque le début de notre passion commune pour la photo. Le 08/07/2002 premier papillon dans le Queyras : Galerie Apollons.

Nous avons attendu août 2003, le Coolpix 5700 (5 mégapixels) et son zoom plus puissant pour photographier les papillons Vulcain, Paon-du-jour et Robert-le-diable qui butinaient le lierre et les fleurs de notre jardin. Le virus des papillons nous avait atteint et c’est avec l’impatience des chasseurs que nous avons commencé notre collection de Rhopalocères et Hétérocères au printemps 2004.

La saison 2005 a débuté avec l’EOS 300D pour Jean Paul et NIKON 5700 pour Louisette, deux APN valent mieux qu’un surtout pour deux passionnés. La saison 2007 a débuté avec l’EOS 400D pour Louisette car le réflex numérique avec ses puissants objectifs “macro” permet une approche plus facile des papillons craintifs (distance entre 0,3 et 0,5 m ou plus).

Le CANON EOS 450D fait son apparition en mars 2009 et le CANON EOS 650D en octobre 2012 suivi par le 760D en février 2016 avec des nouvelles combinaisons de travail pour Louisette et Jean -Paul.

En 2006 j’ai envisagé de créer un site internet, j’ai donc pris contact avec Nadine Le Goff qui m’a communiqué tous les renseignements nécessaires pour débuter, je l’en remercie, voir Bretagne inspiration, la magie du Finistère.

 20 ans après la première photo de papillon en 2002, nous vous souhaitons une bonne visite du site après reconstruction professionnelle par Mimosa.com

Jean-Paul et Louisette COAT

Le Maine-et-Loire et ses départements limitrophes : Loire-Atlantique (44),  Ille-et-Vilaine (35), Mayenne (53), Sarthe (72), Indre-et-Loire (37), Vienne (86), Deux-Sèvres (79), Vendée (85)

La géologie du Maine-et-Loire est caractérisée par 3 sous-régions

– L’Anjou bleu (ou noir) composé de schistes ardoisiers et gréseux et de carbonifères dans le Segréen et les Mauges à l’Ouest d’Angers. La géologie relève plutôt du granitique (Le Domaine Ligérien, à l’extrême sud-est du Massif armoricain).

– L’Anjou blanche des sables et du tuffeau dans le Baugeois et le Saumurois à l’Est d’Angers, présente les caractères cette fois ci, du Bassin sédimentaire Parisien (extrême sud-ouest).

– La vallée de la Loire constitue un territoire géologique à part entière, traversant d’Est en Ouest l’Anjou, du Bassin parisien vers le Massif armoricain. La Loire, fleuve resté sauvage apportant son lot de sables et graviers au gré de ses crues millénaires, constitue le trait d’union majeur entre tous les paysages de l’Anjou. » (Source : Meteobell)

Il est clair que cette géologie en 3 sous-régions conditionne la richesse en papillons, celle la plus riche étant l’Anjou blanche (Calcaires, marnes, tuffeau et sables).

Notre sélection bibliographique

Puisqu’il est question d’élevage de chenilles, je voudrais commencer par citer le meilleur livre d’élevage que je connaisse : Guide des chenilles d’Europe (D.J. Carter et B. Hargreaves)

Les photos des 500 chenilles sont des dessins, il est donc intéressant surtout pour ses monographies de chacune des espèces citées, à voir car « papillonschenilles49 » ne peut pas plagier tous ces textes, idem pour tous les textes d’internet et des livres comme :

Atlas des papillons de nuit du Nord-Pas de Calais (Georges Orhant et Serge Wambeke)

Atlas des papillons de nuit de Basse-Normandie et des Îles Anglo-Normandes (Nicole Lepertel et Jean-Paul Quinette) 

Ces livres je les ai consultés presque journellement depuis leur achat.

L'identification des chenilles

Si vous deviez un jour faire une identification avec « papillonschenilles49 », ma devise est : « toujours vérifier 3 fois », d’où l’intérêt d’avoir un panel de sites fiables, pour cela voir le carnet d’adresses PDF.

Pour l’identification des chenilles je recommande principalement les sites internet :

Parlons biotopes !

On ne peut pas trouver des chenilles sans connaitre les bons biotopes, il est inutile de fréquenter le domaine agricole sauf à de rares exceptions, j’ai une donnée de Helicoverpa armigera dans une culture de chanvre.

J’affectionne surtout les forêts domaniales de feuillus (chênes, hêtre, charme) (Anjou blanche), les landes d’Ajoncs, Calluna et Erica (Anjou blanche), les zones humides (le 49 regorge de zones inondables en vallée de la Loire, Mayenne, Sarthe et Loir, de marais, tourbières et roselières), les haies bocagères (surtout en Anjou bleu).

Les jardins aussi peuvent être une très bonne option s’ils ne sont pas fréquentés par des jardiniers (les pires ennemis des chenilles), de nombreuses espèces fréquentent le nôtre, il suffit de voir les nombreuses citations sur papillons-49.

Liste des espèces: lepinet.fr

Données du 25/02/2023

Remerciements

Papillonschenilles49

Je remercie « mimosa » et Cédric Champarnaud, l’artisan du renouveau. J’espère que les visiteurs apprécieront leurs compétences pour la lisibilité du nouveau site « papillonschenilles49 ».

Papillons-49

 Je remercie Nadine Le Goff qui a guidé mes premiers pas dans la création du site « papillons-49 » en 2006, sans elle, rien n’aurait été possible.

L’entomologie experte

 Je remercie Jean-Pierre Favretto (expertises photos), Alain Cama (genitalia), Marc Nicolle (genitalia) et le groupe des Entomologistes Angevins, Philippe Mothiron du site « lepinet », Serge Wambeke (Papillons du Nord-Pas de Calais), Nicole Lepertel (Papillons de Basse Normandie) … pour leurs expertises des photos et des « genitalia » sans lesquelles papillonschenilles49 n’aurait pas la même fiabilité.

Les contributeurs

 Je remercie tous les contributeurs sans pouvoir citer tous les noms que vous retrouverez sur les photos au cours de vos visites.